8 bis cours des Perches 63118 CÉBAZAT
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26e édition de ce tremplin qui offre l’opportunité à huit artistes nationaux de se faire découvrir en Auvergne, dans le réseau des Scènes régionales, et au-delà, avec des représentants de la Fédération des Festivals de Chanson Francophone !
Un(e) artiste se verra programmer d’office pour la 17e édition du festival : il/elle sera choisi(e) par le jury, composé de professionnels et de partenaires.
Un(e) autre sera invité(e) en résidence au Sémaphore : ce prix Claude-Miaille remis par la Ville de Cébazat sera attribué par le public qui votera cette année, non pas pour un, mais pour trois artistes.
L’association C’Ma Chanson désignera le groupe qui clôturera sa journée brocantesque du samedi 5 mars 2016.
Et qui sait, chacun repartira peut-être avec une programmation ou un chèque du Crédit Mutuel Massif Central.
D’ici là, rendez-vous mi-octobre sur les ondes de Radio Arverne pour découvrir ces huit perles et attribuer le prix des auditeurs, un concert au Théâtre Cornillon de Gerzat, ou sur le site de Cébazat et les réseaux sociaux !
Des textes poétiques et ciselés mêlés à l’énergie rock, des refrains pop et des ambiances folk.
Des paysages musicaux tricotés main, ballades mi-cruelles mi-romantiques qui ne dédaignent ni l’énergie rock ni les accents des musiques du monde.
Duo piano-voix/batterie, aux influences Dutronc, Gainsbourg, Camille ; bref, de la nonchalance ironique, de l’onirisme et de la classe un brin déviante.
Chanson hybride qui puise dans l’électro, les musiques improvisées et le rock anglo-saxon.
Subtil mélange du côté déjanté des Rita Mitsouko, de certaines notes puissantes d’Annie Lennox, et des rythmes endiablés à la Matt Bianco...
"Ses textes sont d’une mélancolie poignante, traversée par des touches d’autodérision. Accompagnée par de talentueux musiciens, Julie prend ses aises sur scène. Un aplomb décomplexé qui nous fait entendre autrement la poésie si émouvante de cette artiste singulière… »
Un univers entre Tim Burton et Jean-Pierre Jeunet, un personnage entre le Chapelier fou et Caliméro, Léon parle et émerveille l’éternel enfant qui veille en chacun de nous.
Un chant porté par une poésie douce et intense, une musique sensuelle et brute. Perdue dans une histoire sans fin, Verdée l’intranquille romantique chemine dans sa quête de l’autre, de l’amour, de soi.